« Sans sous-réseau, votre réseau est comme une maison sans cloisons ; Tout le monde peut jeter un coup d’œil et la circulation devient chaotique. Il est temps que vous appreniez comment fonctionne le sous-réseau IPv4 !
Considérez votre réseau informatique comme une ville surpeuplée. Sans une planification appropriée, le trafic de données sera chaotique, les tempêtes de diffusion perturberont les performances, la sécurité sera vulnérable et l’allocation IP sera inefficace. C’est là que Subnetting IPv4 agit comme un « urbaniste » numérique, divisant les grands réseaux en petits sous-réseaux organisés.
Pour ceux d’entre vous qui sont nouveaux dans le monde des réseaux, des termes tels que masques de sous-réseau, notation CIDR ou bits réseau peuvent sembler compliqués. Mais calmez-vous ! Cet article vous guidera pour comprendre comment fonctionne le sous-réseau IPv4 en termes pratiques, des concepts de base, des étapes de partage de sous-réseau aux exemples concrets qui peuvent être appliqués immédiatement.
Qu’est-ce que le sous-réseau IPv4 et pourquoi est-il nécessaire ?
Subnetting IPv4 est une technique qui consiste à diviser un grand bloc de IP address en plusieurs tissus plus petits appelés subnet. Imaginez que vous divisiez un immeuble de bureaux en plusieurs étages, chaque département (RH, IT, Marketing) dispose de son propre espace avec un accès contrôlé.
3 raisons principales pour lesquelles le sous-réseau est nécessaire
1. Réduire le trafic réseau (domaine de diffusion)
- Sans sous-réseau, le trafic de diffusion (par exemple, les requêtes ARP) inonde l’ensemble du réseau.
- Exemple : Sur le réseau /24 (254 hôtes), la diffusion sera envoyée à tous les appareils, même si seulement 10 appareils peuvent être nécessaires.
2. Améliorer la sécurité
- L’isolation des sous-réseaux empêche les attaques de se propager (par exemple, les logiciels malveillants de la division Marketing n’infectent pas directement les RH).
- Exemple pratique : le sous-réseau pour le WiFi invité est séparé du réseau interne de l’entreprise.
3. Optimiser l’attribution des adresses IP
Évitez le gaspillage d’IP. Exemple:
- Le réseau 192.168.1.0/24 (254 hôtes) n’est utilisé que pour 20 appareils → 234 adresses IP sont gaspillées.
- Avec le sous-réseau, il est possible de créer /27 (30 hôtes par sous-réseau) → plus efficace.
“Que se passe-t-il si votre entreprise dispose de 5 départements mais seulement de /24 disponibles ? Le sous-réseau peut-il encore être fait ?
Les composants de base du sous-réseau IPv4 : une base incontournable
a. Adresse IP et masque de sous-réseau : deux faces de la monnaie qui se complètent
Un IPv4 address est une adresse unique de 32 bits écrite en 4 octets décimaux (exemple : 192.168.1.0). Cependant, cette adresse n’a de sens que lorsqu’elle est associée à un subnet mask, qui sert de « verre » pour identifier les parties qui sont les network ID et les host ID.
Exemple:
- L’adresse 192.168.1.10 avec le masque de sous-réseau 255.255.255.0 (/24) signifie :
- ID réseau : 192.168.1.0
- ID d’hôte : 10
Les masques de sous-réseau se composent toujours d’une série de bits « 1 » séquentiellement à gauche (réseau) et « 0 » à droite (hôte). C’est comme une ligne de démarcation ferme entre l’adresse réseau et l’appareil.
b. Notation CIDR – Langage court efficace
CIDR (Classless Inter-Domain Routing) notation est une méthode moderne plus efficace pour écrire des masques de sous-réseau. Le format /24 est beaucoup plus pratique que d’avoir à écrire 255.255.255.0.
Illustration:
- /24 = 24 bits pour le réseau (ou 255.255.255.0)
- /26 = Réseau 26 bits (255.255.255.192)
Plus le numéro CIDR est élevé (par exemple /28), plus le sous-réseau généré est petit, car plus de bits sont alloués à la partie réseau.